Déclin et faillite. Fin des années 1980, Pinault SA entre sur le marché boursier et acquiert le Printemps et la Redoute. A Chapelle Darblay, le vénérable fabricant de papier journal craint pour son avenir Le groupe finlandais UPM a confié à Ernst & Young la vente de son usine Chapelle Darblay de Grand-Couronne près de Rouen en Seine-Maritime qui produit du papier journal avec 236 salariés. 1987: acquisition de 75% du capital de la société Chapelle Darblay, ... Les Etablissements Pinaults devient le groupe Pinault-Printemps-La Redoute.

- 1989 : redressement de la Chapelle-Darblay, prise de participation dans la CFAO. L’UPM a maintenu jusqu’à ce jour 236 emplois sur le site normand. Le groupe finlandais UPM a confié à Ernst & Young la vente de son usine Chapelle Darblay … Sur la Chapelle-Darblay, l’Humanité s’égosillait « Deux ans après avoir repris l'affaire pour un franc symbolique, l'affairiste François Pinault vient de revendre le premier groupe papetier français à deux groupes scandinaves, le suédois Stora et le finlandais Kymmene. 1983: parrainé par Ambroise Roux pour entrer à l’Association française des entreprises privées (AFEP). Il achète à Bernard Arnault Conforama.

1983: parrainé par Ambroise Roux pour entrer à l’Association française des entreprises privées (AFEP).

La papeterie Chapelle Darblay, un fleuron de l’industrie menacé. 1987 Reprend la Chapelle-Darblay (située dans la circonscription du député Laurent Fabius) 1988 Introduction du groupe Pinault SA au second marché de la Bourse de Paris. Il rencontre Jacques Chirac qui devient son ami. Comment François Pinault est-il devenu François Pinault ? 1987: François Pinault achète 75 % du capital de la Chapelle Darblay, numéro un français du papier journal. L’UPM, quand il a repris la Chapelle Darblay au groupe Pinault dans les années 1980, a relancé l’usine en la reconvertissant vers la fabrication du papier journal à partir des papiers et cartons collectés. La papeterie industrielle de Grand-Couronne, près de Rouen (Seine-Maritime), pourrait fermer en juin. Comment cet autodicacte a-t-il appris à " surfer " sur les crises au point d'être le numéro 1 du bois en Europe ? L’UPM, quand il a repris la Chapelle Darblay au groupe Pinault dans les années 1980, a relancé l’usine en la reconvertissant vers la fabrication du papier journal à partir des papiers et cartons collectés.

Elle ne fait plus l'objet d'investissements autres que des modernisations de la machine n o 9. - 1987 : rachat du papetier la Chapelle-Darblay. 1992: création du holding Artémis. ... 1994: le groupe devient Pinault-Printemps-Redoute et reprend la Fnac. A Chapelle Darblay, le vénérable fabricant de papier journal craint pour son avenir. 1970: François Pinault épouse Maryvonne, la femme de sa vie.

1987: acquisition de la papeterie Chapelle Darblay, cédée en 1990. En 1988, il achète 75% du capital de la papeterie de la Chapelle-Darblay, alors numéro un du papier journal en France, qu'il revend trois ans plus tard en empochant un bénéfice de 525 millions de francs. Il y a la logique de l’UPM : la demande en papier journal connaît un déclin STRUCTUREL depuis 10 ans du fait de la baisse des tirages des journaux imprimés (mais l’édition des livres, même si elle stagne en volume, reste incontournable).

1987: François Pinault achète 75 % du capital de la Chapelle Darblay, numéro un français du papier journal. J’ai passé une enfance heureuse à Trévérien, un village breton à l’intérieur des terres, près de Saint-Malo. 1970: François Pinault épouse Maryvonne, la femme de sa vie. Il achète 75 % du capital de la Chapelle Darblay, numéro 1 du papier journal et revend en 1990 avec une plus-value de 525 millions de francs. 1987: acquisition de 75% du capital de la société Chapelle Darblay, ... Les Etablissements Pinaults devient le groupe Pinault-Printemps-La Redoute.

Fin des années 1980, Pinault SA entre sur le marché boursier et acquiert le Printemps et la … Elle ne fait plus l'objet d'investissements autres que des modernisations de la machine n o 9. En 1968, la papeterie est intégrée au groupe Chapelle-Darblay. Déclin et faillite. 1992: création du holding Artémis. François Pinault. Il achète 75 % du capital de la Chapelle Darblay, numéro 1 du papier journal et revend en 1990 avec une plus-value de 525 millions de francs.



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