La filière canne réunionnaise s’appuie sur deux usines régulièrement modernisées depuis 1996 - BOIS-ROUGE au nord-est et le GOL au sud-ouest – d’une capacité unitaire d’un million de tonnes de cannes traitées. Il a été également accordé la possibilité à l’Etat membre de compléter ces mesures par une aide nationale dans la limite d’un crédit de 90 millions d’euros par an. Facebook Twitter. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies. cannière résiste à la Réunion et en Guadeloupe; elle diminue respectivement de - 20 % et de - 15 % en 18 ans essentielle-ment sur la première période 1989-2000. Questions à la filière. A la une. Restaurant La Canne à Sucre 2 Snack, Asian cuisine, Creole cuisine, European cuisine, Indian cuisine, Fast Food, Various at Saint-pierre. canne à sucre à la Réunion a forte-ment contribué à augmenter le ren-dement, de 4 tonnes de sucre à l’hec-tare dans les années cinquante à plus de 7 tonnes aujourd’hui. L’accord interprofessionnel du 21 décembre 2009 stipule la répartition de la recette bagasse-énergie (RbE) de la manière suivante : Les principaux intervenants de la filière sont : eRcane affirme et étend aussi sa renommée internationale, par l’appui-conseil technologique aux sucreries (en Afrique, Antilles et Maurice), par la création variétale partenariale (7 stations en Afrique de l’Ouest), par la fourniture de variétés aux autres pays producteurs de canne (zone Afrique, Océan indien, Antilles). La nouvelle variété R 586 libérée en 2013, présente également un taux de fibre de 17,4 %, bien plus élevé que les cannes classiques. La filière canne-sucre-rhum joue un rôle prépondérant dans l’activité économique de La Réunion. 782 965. Cette plante vivace tropicale, à la fibre juteuse et sucrée, comporte des tiges colorées, hautes et robustes ainsi que de longues feuilles vertes, claires et brillantes. La performance de cette méthode est évaluée en l’appliquant à la production de canne à sucre de l’île de La Réunion. Elle contribue auj… Du côté de la Chambre d’Agriculture et de la Région Réunion, l’idée est de pousser à la conversion de la canne à sucre vers la canne-fibre. La Canne à Sucre 2 restaurant serves meals, salads, a variety of sandwiches and ice creams to eat in or take away. Cette richesse dépend de nombreux facteurs et notamment du sucre cristallisable, de la teneur en matière sèche du jus, de la quantité de fibre de la canne, de la pureté du jus et du rendement de l’usine. le développement d’une expertise en recherche technologique (procédés, innovations, …) pour optimiser la chimie sucrière (amélioration du process) et faire émerger les valorisations futures de la canne en chimie verte (partenariat avec Qualitropic-Réunion et labos européens), préservation de l’environnement (peu consommatrice en d’intrants), approvisionnement de l’île en énergie renouvelable (bagasse). See photos (3) Back to the list. La valorisation énergétique du co-produit « bagasse » est effective avec la production des deux centrales thermiques (CTBR et CTG) qui la consomment pendant la campagne sucrière, tant pour alimenter les usines en vapeur et électricité que pour participer à la couverture des besoins en électricité de l’île (environ 10 %). désormais le principal facteur de pertes de rendement des cultures de canne à sucre Epaillage manuel d’une parcelle de canne située à 350 m d’altitude à Bois de Nèfles, Ouest de La Réunion. La culture de la canne à sucre est une activité agricole traditionnelle de l'île de La Réunion, département d'outre-mer français dans l'océan Indien.En 2019, elle occupe 54 % de la surface agricole utile (SUA), soit 22 700 ha [1], [2], et fournit à l'agriculture locale et, plus généralement même, à l'économie réunionnaise, le premier produit d'exportation, le sucre de canne. CIRAD CA CAS Pôle Canne à Sucre La production de canne à sucre dans les hauts de la Réunion Point des recherches agronomiques pour la période 1996-2000 Denis Pouzet Saint Denis, La Réunion, Mars 2001 Interligne & rendement Beaufond 500 m 120 150 180 Interligne (cm) Rendemenr moyen de../ récoltes de R570. A La Réunion, une filière canne à sucre performante mais dépendante. Située dans l'océan Indien, l'île de La Réunion dispose d’une flore considérablement variée. Son quota garanti de 338 327 tonnes de sucre assure à La Réunion une large marge potentielle de progrès au-delà du niveau actuel de production (± 210 kT). Ces nouvelles variétés améliorent le rendement à l’hectare et permettent à la fois de produire plus d’énergie et autant de sucre à l’hectare. Depuis l’origine, la vie économique et sociale s’est organisée autour de sa culture, et elle a traversé les siècles rassemblant chaque génération. Les rendements (70 à 140T/ha) restent très hétérogènes sur l’île selon la zone et la campagne, en raison, notamment, de la forte diversité agronomique, climatique et technique des zones de production. La canne doit impérativement passer au moulin entre 12 et 36 heures après sa coupe. C’est à La Réunion qu’a été créée au début des années 80 la première centrale thermique fabriquant de l’électricité avec de la bagasse directement issue du processus sucrier. Si cette technique a pu être utilisée auparavant dans certains pays sucriers, La Réunion a été la première à mettre au point une chaudière à haute pression pour la combustion de bagasse, permettant une injection à haute énergie. La réforme de l’organisation commune du marché du sucre (OCM sucre) sécurise la filière canne dans les départements d’outre-mer. La filière Canne-Sucre. la création-sélection variétale pour produire des variétés de canne à haut potentiel de rendement, de richesse et de production de biomasse, et spécifiquement adaptées aux conditions agro-pédo-climatiques des principales zones de production de l’île. Le rendement moyen varie entre 60 et 100 tonnes/hectares. Cette filière s’impose comme pilier du développement durable à La réunion, par ses caractéristiques de productions et par la pluralité de ses valorisations actuelles et potentielles : La campagne sucrière 2015 a démarré le 06 juillet et se poursuivra jusqu’au mois de décembre. La canne à sucre est une culture pluriannuelle qui se récolte chaque année. Elle progresse régulièrement à la Martinique depuis 1989. Elle tolère néanmoins une grande variété de types de sols, des pH allant de 5 à 8,5, et même une légère salinité qui réduit néanmoins les rendements avec son accroissement. ouverture vers d’autres valorisations de la plante : bioénergies, chimie verte. Total de cannes à sucre broyées (en tonnes) 1 526 082. La production, stabilisée depuis la campagne 1995 grâce, notamment, à la politique de mise en valeur de nouvelles terres, reste fortement dépendante des aléas du climat et de l’évolution des surfaces effectivement exploitées ; par ailleurs, elle très contrastée entre les zones au vent (est & nord) et sous le vent (ouest & sud). La filière « canne-sucre-rhum » possède des atouts majeurs au sein de l’économie en termes de complémentarité entre les productions agricoles, de contribution paysagère aux attentes du tourisme, de participation à la couverture des besoins énergétiques et de préservation de l’environnement (recyclage des effluents urbains, industriels et agricoles). La spécificité des Régions Ultra-Périphériques (RUP) est reconnue et l’Union européenne propose un ensemble de mesures adaptées aux particularismes des régions d’Outre-Mer. Sucre roux ou sucre blanc, savoureux et étonnants, les dérivés de la canne à sucre sont nombreux : rhums millésimés, sirops, cocktails… Ces produits issus du sucre trouvent leur place en cuisine, notamment en pâtisserie, sur les plus belles tables traditionnelles ou gastronomiques de La Réunion ou de France métropolitaine. Cette nouvelle contribution de l’industrie sucrière réunionnaise à la production d’énergie permet la production annuelle de 10 000 MWh d’électricité à partir de 5 000 m3 d’éthanol carburant, ce qui limite les importations de combustibles sur le territoire. À La Réunion, environ 285 GWh d’électricité sont produites à partir de la bagasse fournie par les sucreries de Bois-Rouge et du Gol. Médiathèque. OBJECTIFS Augmenter son revenu. Notre île, notre sucre, une alchimie unique . L’arrêté du 20 novembre expose les modalités d’actualisation de la prime annuelle variable, qui s’ajoute aux tarifs actuels du contrat initial d’achat d’électricité produite à partir de la biomasse issue de la canne à sucre. La bagasse est déjà traditionnellement utilisée pour faire fonctionner les usines sucrières, elle sert aussi à produire de l’électricité dans les centrales Albioma du Gol et de Bois-Rouge. NOTRE SERVICE Compétences en approche globale et dans de nombreuses spécialités techniques (herbicides, … 2018 ont fortement impacté le rendement de canne à sucre : 1,421 millions de tonnes de cannes ont été broyées dans les deux usines de l’île, soit 23 % de moins par rapport à la moyenne décennale (1,850 millions de tonnes). En outre, on peut toujours déplorer des pertes de surfaces agricoles à un fort potentiel agronomique, ce qui constituent encore des sources de fragilité structurelle de la filière canne. En effet, plus de 1000 espèces de plantes se sont graduellement établies, au bon vouloir des courants marins, des cyclones et des migrations. Tonnage actuel de la campagne. Aujourd’hui pendant la campagne sucrière, la bagasse est utilisée pour produire de l’énergie sous forme de vapeur d’eau utilisée dans le process sucrier et d’électricité destinée à 80 % au réseau public réunionnais (le reste alimentant les sucreries). Suivant . Redevenue française en 1815, l’île se lance dans l’industrie sucrière moderne. La Réunion. Nouvelle valorisation de la bagasse-énergie. La richesse moyenne globale en 2018 est de 13,24 %, là aussi en dessous de la moyenne décennale. Les rendements énergétiques obtenus à La Réunion sont parmi les meilleurs au monde : une tonne de canne produit 150 KWh d’électricité, ce qui couvre la consommation électrique d’un habitant pendant 15 … En effet, la profession enregistre un volume de production de 1,526 million de tonnes de cannes à sucre récoltées cette année, selon groupe coopératif … Les rendements (70 à 140T/ha) restent très hétérogènes sur l’île selon la zone et la campagne, en raison, notamment, de la forte diversité agronomique, climatique et technique des zones de production. La canne à sucre symbolise également un atout véritable pour le développement durable à La Réunion. Cette prime est fixée à 13 € par tonne de canne et s’actualise chaque année par un coefficient « M » calculé en fonction du taux de fibre moyen de la canne, de la moyenne annuelle des prix du charbon et de la moyenne arithmétique annuelle des prix des quotas de CO2. Tonnage actuel à la sucrerie de Bois-Rouge. L’article 53 de la LODEOM stipule que, dans les DOM, le tarif de rachat de l’électricité aux installations électriques existantes ou nouvelles qui produisent de l’électricité à partir de la biomasse, dont celle issue de la canne à sucre, ne peut être « inférieur au prix de vente moyen de l’électricité issu du dernier appel d’offre biomasse national. - … Ce coefficient est fixé à 1 pour les campagnes 2009, 2010, 2011, donc la prime complémentaire bagasse-énergie, dans les DOM et Mayotte, est de 13 € par tonne de canne pour ces trois campagnes. Elle constitue notamment la principale source d’emplois de l’agriculture réunionnaise. Provenant de Mélanésie, particulièrement riche en saccharose, il s’agit d’une grande graminée tropicale herbacée ayant un roseau de 2.5 m à 6 m de haut. La sole cannière représente, en 2015, une surface totale estimée à 22 664ha pour environ 2 946 planteurs. Cette culture a modelé les paysages, façonné l’identité réunionnaise. Elle est également encore aujourd’hui associée à l’utilisation de nombreux pesticides. 743 117. Les deux cannes réunionnaises R 585 et R 586 sont aujourd’hui les deux variétés de canne cultivées les plus riches en fibre au monde. Une des principales contraintes de la canne à sucre reste la concurrence des mauvaises herbes qui peut sévèrement impacter le rendement. Domaine de Beaufond & Station de La Mare Centre de coopération internationale … La Réunion abandonne au XIXème siècle la culture du caféier, du giroflier et du cotonnier en faveur de celle de la canne à sucre après une série de cyclones entre 1806 et 1807. Pour ce qui concerne La Réunion, la compensation de la perte de revenus se traduit par une aide directe évoluant de 31,5 M€ en 2007 à 44,2 M€ à compter de 2010 jusqu’en 2015. Tonnage actuel à la sucrerie du Gol . Elle reste une culture d’exportation, une production pivot incontournable pour la solidité financière des exploitations agricoles et pour l’appui à leur diversification ; en outre, elle offre un potentiel important de surfaces pour valoriser des effluents d’élevage et urbains. En 2017, la valeur de la production de canne à sucre s’élève à 146 Les rendements énergétiques obtenus à La Réunion sont parmi les meilleurs au monde : une tonne de canne produit 150 KWh d’électricité, ce qui couvre la consommation électrique d’un habitant pendant 15 jours. Dans ce cadre, les producteurs sucriers des DOM bénéficient notamment d’une compensation de la perte de revenus avec la mise en place d’un système d’aide directe aux planteurs lesquels bénéficieront d’une enveloppe allant de 41,9 M € en 2007 à 59,2 M € à compter de 2010, et un quota théorique de production estimé à 480 000 tonnes. La filière canne-sucre-rhum joue un rôle prépondérant dans l’activité économique de La Réunion. Une tonne de canne permet d’obtenir environ 115 kg de sucre. Malgrès les conditions de sécheresse de fin 2010- début 2011 qui ont impactées la repousse des parcelles de canne, le résultat de la campagne 2011, certes inférieure au record de 2004 (1,969 millions de tonnes de canne), reste supérieur à la moyenne décennale (1,827 millions de tonnes de canne), mais s’accompagne d’une richesse médiocre (13,54), inférieure à la moyenne décennale (13,88).